mercredi 24 mars 2010

Le cas du CAS 2


Le Conseil des Arts de Saguenay ne donne toujours pas de nouvelles (j'en parlais déjà ici, il y a quelques jours). Et le temps passe encore et encore. Je peux comprendre leur(s) problème(s) de financement et les délais imposés. Je peux même les accepter... mais encore faut-il qu'il me les explique.

Peut-être est-ce là que le bât blesse: dans le silence du CAS. Pas une convocation. Pas une lettre. Pas un courriel. Rien. Que les rumeurs...

Conflit d'horaire

Aujourd'hui, je rencontre (en fait, je vais chercher, avec Guylaine Rivard) Monsieur Robert Reid de l'Université Concordia qui débarque au Saguenay pour offrir une formation en biomécanique... un principe d'entraînement de l'acteur mis en place par Meyerhold, en Russie, dans la seconde décennie du XXième siècle.

Il y a longtemps que je souhaite voir de près, tester, expérimenter (eh oui... je dois avoir une fibre comédienne en moi... sans commentaire pour ceux ou celui qui veut en rajouter!) cette biomécanique. Le temps est venu!

Malheureusement, par un conflit d'horaire, je n'en verrai qu'une partie. La formation s'étale sur quatre jours - de jeudi à dimanche - alors que je dois, ce week-end(à compter de vendredi en fin d'après-midi), retourner à Roberval pour un dernier bloc intensif de répétitions de La Défonce. Mon cœur tangue donc...

La gestion d'un agenda personnel s'avère parfois ardu quand le mode de vie choisi nous ballotte d'un côté à l'autre. Que de rencontres, que de productions, que d'activités, que de partys manqués au fil des différents projets... Bon. Il y a pire. Au moins je travaille!